Les solutions mises en oeuvre

Un principe : priorité à une protection "à la source"

Il est plus efficace de piéger le bruit au plus près de l’endroit où il a été émis. C’est donc dans le renforcement des écrans existants ou dans la pose d’écrans supplémentaires qu’ont été privilégiées les études puis les travaux.

Trois types d’intervention

Les réponses techniques sont très variées pour s’adapter au mieux aux conditions topographiques très diverses, que connaissent les autoroutes (position de la chaussée par rapport aux habitations, présence de viaducs et de franchissements de voies importantes) et aux protections existantes qui, dans certains cas, ont atteint un degré de vétusté qui justifient leur démolition.
Schématiquement, on peut résumer le projet en trois éléments  :
. démolition et reconstruction des écrans existants
. réhabilitation et rehausse des murs acoustiques qui le permettent
. construction d’écrans neufs et notamment sur le terre-plein central de l’autoroute.

Des solutions techniques adaptées au terrain 

Les écrans ou les parements phoniques qui vont être installés sur un itinéraire de plus de 5 km s’adaptent à cette diversité. Les réponses sont ciblées dans la recherche de l’efficacité optimale en termes acoustiques et de la meilleure intégration architecturale et paysagère.
Lorsque les écrans sont visibles par les riverains, la face vue reçoit un parement architectural.
Un traitement paysager adéquat accompagnera la mise en œuvre de ces nouveaux écrans.
L’opération fait donc l’objet de deux phases et d’un découpage en de nombreux secteurs. Le détail de chaque secteur est présenté dans la sous-rubrique : organisation des travaux

Plan général des travaux de la première tranche

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